Britanniques, française, allemande, indienne, américaine, imaginaires... ajoutons aujourd'hui une nouvelle origine à nos pirates: hollandaise. Cornelis Corneliszoon Jol est amiral de la république hollandaise, corsaire et, en ces temps troublés de la première partie du XVIIème siècle, certainement pirate et flibustier.
La vie de John Evans ou n'est pas Morgan qui veut. Tout comme Henry Morgan, John Evans est gallois. Tout comme Henry Morgan, Evans est parti cherché fortune en Indes de L'Ouest (les Caraïbes de nos jours). Il est devenu riche également, mais... Et oui il y a un mais.
Où l'on retrouve Monbars en compagnie de boucanier et d'indiens sur le propre navire, deuxième vaisseau de la flotte de son oncle (et récemment acquis ou plutôt conquis). Sitôt embarqué et sa troupe équipée, les deux navires font route vers les navires espagnols objets de toutes les convoitises.
Monbars, un nom à faire frémir plus d'un Espagnol. Dans son "Hiftoire des avanturiers flibustiers", Alexandre-Olivier Exquemelin introduit son personnage ainsi: "En effet comme les l'Espagnols ont été le fléau des Indiens, l'on peut dire que les aventuriers sont le fléau des Espagnols, mais il n'en est point qui leur ait plus de mal que le jeune Monbars, surnommé: l'exterminateur."
Les pirates les plus célèbres sont ceux qui sont associés à un trésor toujours enfoui quelque part sur une île que même les satellites n'arriveraient pas à trouver. Jean-David Nau plus connu sous le nom de François l'Olonnais n'a pas laissé de trésor pourtant sa réputation et sa mort (il a été servi au déjeuner à des cannibales) méritent bien la lecture de ces quelques lignes.
Peter Easton était un marin anglais devenu pirate par inadvertance. En 1602, ce cher Peter voguait entre Angleterre et Terre Neuve avec une lettre de marque de la reine Elisabeth lui donnant l'autorisation de protéger les flottilles de pêche anglaises, de couler les navires espagnols et autres fantaisies flottantes non identifiées voir françaises.