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20ème siècle

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L'affaire du crâne d'Hitler: les services secrets russes démentent

Il faut croire que même l'ADN du Führer soit toxique. Plus de 60 ans après sa mort, les ossements d'Hitler, conservés à Moscou, crées une fascination malsaine et relance la théorie du complot. En septembre dernier, des scientifiques américains ont annoncé que le crâne était en réalité celui d'une femme, sans doute celui de sa maîtresse Eva Braun (cf: Hitler, ce n'est pas elle!). Or, le conservateur des archives du FSB (Service fédéral de sécurité de la Fédération de Russie), Vasily Khristoforov, a accordé une interview à l'agence Interfax, lundi dernier, dans laquelle il réfute les résultats des analyses ADN.

N'est pas Indiana Jones qui veut

Regardez l'image à gauche. Selon vous, il s'agit : d'un masque d'Halloween, d'un crâne d'extra-terrestre fossilisé, d'une boule de cristal un peu particulière ou d'une fameuse relique qui a échappé à la convoitise d'archéologues sans scrupule grâce à l'intervention d'Indiana Jones ? Douze spécimens similaires ont été répertoriés depuis le 19ème siècles, dont un est exposé au Musée du Quai Branly à Paris, un au British Museum à Londres et un au Smithsonian Institut à Washington. Les neufs autres appartiennent à des collectionneurs privés.

Guirlandes et svastikas : un joyeux Noël selon Hitler

Jusqu'au 10 janvier prochain le NS-Dokumentationszentrum (Centre de Documentation du National-Socialisme) de Cologne présente une exposition consacrée à l'histoire de la fête de Noël depuis le 19ème siècle. Une place centrale est accordée à la façon dont les Nazis ont révisé les vieux standards pour transformer la célébration de la naissance d'un Juif en une fête aux accents plus germaniques : les feux du solstice d'hiver. Dans un article du Spiegel, le journaliste David Gordon Smith nous explique comment les boules du sapin de Noël furent remplacées par des croix-gammées et la bûche traditionnelle par des Bretzels.

24 octobre 1929 : le krach de Wall Street

C'est un anniversaire qui se rappelle à nous en ces temps de désordres mais dont on ne tira sans doute encore aucune leçon. Entre le 24 octobre, le fameux Jeudi Noir, et le 29 octobre 1929, la Bourse de New-York s'effondre, marquant le début de la plus grande crise économique du XXe siècle.

Séverine : Vie et combats d'une frondeuse - Evelyne Le Garrec

Toute sa vie, Caroline Rémy dite Séverine (1855-1929) a lutté à la force de sa plume contre les injustices sociales. Libertaire, féministe, dreyfusarde, pacifiste, elle a été sur tous les fronts. Elle a côtoyé Jules Vallès, Emile Zola et Jean Jaurès, ces grands hommes qui habitent nos manuels d’histoire. La Grande Séverine, en revanche, est tombée dans l’oubli.

Mort aux bourgeois ! - Renaud Thomazo

Au début de l'année, Les éditions Larousse ont réédité "Mort aux Bourgeois" de Renaud Thomazo, dans la collection "L'histoire comme un roman". Cette série d'ouvrages de vulgarisation prétend mêler la rigueur historique au récit romanesque.

Grippe espagnole et overdose d'aspirine

L’épidémie de grippe de 1918 fût sans doute la plus meurtrière de l’histoire de l’humanité, avec plus de 50 millions de mort à travers le monde. Il semblerait selon, une récente étude, qu’une partie des décès ne soit liées, non pas à la grippe elle-même, mais à la trop grande quantité d’aspirine absorbée pour la soigner.

Greg "Pappy" Boyington, une vraie tête brûlée

«Donnez-moi le nom d'un héros, et je vous prouve que c'est un bon à rien.» écrit Gregory Boyington (1912-1988) dans son autobiographie parue en 1958 et traduite en français cette année. Le major Gregory Boyington, plus connu sous le nom de "Pappy" Boyington avait son franc parler et sa personnalité haute en couleurs avait de quoi inspirer un réalisateur hollywoodien. Mais avant de passer à la postérité, sous les traits de l'acteur Robert Conrad dans la fameuse série des "Têtes brûlées" le commandant de l'escadron 214 des Marines américains, les Black Sheep (Moutons Noirs ou Brebis Galeuses) s'est distingué grâce à un tableau de chasse impressionnant.

Hitler, ce n'est pas elle !

Depuis plus de 60 ans, les manuels d'Histoire nous apprennent qu'Adolf Hitler et sa maîtresse, Eva Braun, se seraient suicidés dans un bunker le 30 avril 1945 alors que les Russes bombardaient Berlin. Le dictateur aurait avalé une capsule de cyanure avant de se tirer une balle dans la tête. Cette théorie est aujourd'hui remise en question par un groupe de scientifiques américains. Des analyses ADN, réalisées sur un crâne attribué au Führer depuis des décennies, ont révélées qu'il appartiendrait en réalité à une femme âgée de 20 à 40 ans.

La Prise de tête

Voici une nouvelle devinette. Selon vous, que faisait la dame sur la photo de gauche? Trois indices: elle ne se faisait pas une Permanente, elle ne testait pas un prototype permettant d'exécuter les condamnés à mort debout, l'objet qu'elle portait sur la tête est maintenant exposé au Museum of Questionable Devices à Minnéapolis.